dimanche 16 janvier 2011

Ella en Basquiat

À travers cette exposition, l’artiste new-yorkais Basquiat, nous transporte dans l’horreur et la violence où naît l’idée d’un monde meilleur, de justice et de liberté. Il met en place de tel scénario grâce à la superposition et le collage désordonnés de journaux, de coulures de peintures et l’effet brouillon de tags aux pastels. Les pâtés de couleurs où l’on peut voir des personnages noirs à l’apparence squelettique tranchent sur des couleurs chaudes comme le rouge, le bleu et le jaune primaire. La présence d’animaux nous parle aussi dans le sens où le monde est un monde sauvage et sans pitié. Ainsi l’artiste nous plonge dans un univers féroce que nous ne pouvons comprendre qu’en voyant ses œuvres et la force de son style graphique. On note aussi, l’apparition de codes de chiffres et de lettres qui ont sûrement une signification que l’on s’empresse de supposer et de deviner à l’aide de nos connaissances sur l’artiste. C’est donc à travers toutes ces peintures que l’auteur nous transmet l’idée que la peinture est le fait de se lâcher sur une toile, le fait de laisser aller toutes les émotions qui nous traversent l’esprit pour recréer nos pensées du moment.

4 commentaires:

  1. Bravo pour ce texte, Ella! Bien structuré, très éclairant sur Basquiat. Ton autoportrait en revanche est personnel, certes, mais n'est pas vraiment dans le style Basquiat (la bouche notamment). Il aurait fallu te "lâcher" davantage, ton approche étant encore trop "sage". Sans doute faudrait-il travailler sur des plus grands formats pour vraiment atteindre à l'expressivité basquiaise... Ellaaaaaaa, Ella Ellahaha!

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  2. je suis de retour pour vous jouer un mauvais tour hahahaha ! xD
    ....................=_______="
    breef !hou c'est CHOULIE ca te represente bien a la basquiat :D

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  3. J'adore le texte, excellent, clair, frais, éclairant (pour reprendre la défriche :D)
    Le tableau est joli, j'aime bien l'autoportrait, mais c'est vrai que ce n'est pas vraiment le style de Basquiat (pour reprendre la défriche :D), la prochaine, faudra qu'on assiste à un carnage de l'oeuvre (le rendre plus violent, pour reprendre la défriche :D)
    Le roi du plagiat de commentaires-MASMA (pour reprendre mon commentaire :D)

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  4. Un carnage de l'oeuvre ! fichtre .... est-ce bien comprendre le sens du travail de Basquiat ? Nulle violence gratuite, c'est une peinture engagée avec de vraies causes et des bons sujets de révolte (et non de violence ... je crois...)

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